jeudi 15 juillet 2010

Cliches and prejudice

Il y a ce matin un article dans le New York Times à propos des femmes françaises qui savent rester élégantes, soignées etc. après 50 ans. L'article est repris par un blog français qui n'est pas dupe...

Heureusement les commentatrices américaines ne le sont pas non plus.

Pour les conseils, c'est ici...

L'insignifiance du sujet (pour moi et sans doute quelques milliards d'hommes de par le monde) rappelle tout de même la persistance de ce tropisme francophile dans une certaine partie des media américains.

Cela avait été exposé dans ce billet ainsi que dans celui-ci.

Cela vaut tout de même mieux que les insultes des années passées. Ambivalence, ambivalence...


(La photo du chaton en attendant que Merbel m'envoie sa photo afin que je la mette en  illustration du billet)

25 commentaires:

Anonyme a dit…

Je trouve les hommes et les femmes de tous les pays assez beaux. Pour moi, être beau, c'est une combinaison de maintes choses. Mais oui, je trouve qu'il y a bcoup de belles femmes et hommes français. Les francáis ont une style que les Americaines trouvent charmant. Je trouve aussi charmant la style Amércaine, Indien Américaine, Japonais, Brazilien, etc etc..


Chaque fois, il me faut pousser le button deux fois pour publier..

Christine a dit…

"Vous voulez qu'j'vous envoyions ma photo? Ah! mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une dame, ça! Ah! Mé non! Ce s'rait une abomination!
- Juste une petite photo pour montrer que les Françaises sont élégantes, font très attention à elles, après 50 ans....
- Et pi quoi encore? C'est-i un truc de Parigot de dire qu'les bonnes femmes de plus de cinquante ans è'sont à croquer comme des jeunottes! Cor' un boniment du père Jules...
-C'est-à-dire que non, pas tout à fait, le New York Times y consacre un article ce matin!
- J'm'a conduite comme une bonne dame mé.. C'est-i quoi encore c'nouyork? C'est-i l'pays d'Obama?
- Mais là n'est pas la question Madame... Les Françaises qui sont élégantes, qui surveillent leur ligne, mangent bio,font du footing, utilisent les bonnes lotions, etc.
- Ben mé,qu'é qu'j'en sais de tout ça! J'suis pas niante , mais j'sais que c'est pas à Tôt qu'on s'habille comme ça, qu'on s'pomponne, qu'on s'trémousse. C'est-i bieau ça, s'trémousser à cinquante ans!
- Mais enfin, ce n'est rien, juste une petite photo pour illustrer notre article et montrer qu'au fin fond de la France, les femmes mûres ont encore du chien!
- Ah, bah si ça peut t'faire plaisir mon gars, pourqué qu'j'pourrions point? Pisqu'on en a ben parlé dans le nouyork machin, on peut ben en mett'une d'quand j'étais une vedette!
-Merci, mère Denis.
- Savez-vous c'quej'f'rai, mé, si j'étais vous?
-...?
-J't'la mettrai vite fait sur l'poste pour pas qu'on vous d'mande des droits d'auteur!

Flocon a dit…

"Je trouve les hommes et les femmes de tous les pays assez beaux. "

Well we all shine on,
Like the moon and the stars and the sun,
Well we all shine on


Pour le bouton je ne saurais quoi te dire.

Est-ce Blogger une fois encore ou ton ordinateur qui fait un caprice? Stuff happen... ;_)

Flocon a dit…

Alors là, madame la grammairienne va avoir du pain sur la planche pour mettre tout ça au niveau de Madame de Sévigné...

Un mot pour notre petite Américaine: merbel has written the way caricatural peasants (are supposed to) speak French.

Kind of Woodcutters in Montana back in 1835 whose English probably had little ressemblance with the way Longfellow spoke it.

Bon, je laisse la photo du chaton alors?

merbel a dit…

Le parler paysan est extrait de "Toine" et de "Aux champs" deux nouvelles de Maupassant, avec (évidemment) mon grain de sel!

Anijo, désolée, je n'ai pas les compétences nécessaires pour traduire ce qui est écrit dans mon commentaire, mais imaginez-vous une paysanne de la Normandie profonde (pas celle de Deauville ou de Cabourg, ville chérie par
Proust) avec son bonnet sur la tête et les joues bien rouges. Cette femme a été très célèbre dans les années 70 en France: elle faisait de la publicité pour une marque de machine à laver... A l'origine, cette femme, surnommée "la mère Denis" était une lavandière (elle lavait le linge à la main dans les lavoirs...)
Mon arrière-grand-mère maternelle était lavandière et repasseuse: elle lavait le "beau linge" des élégantes de l'époque dans les lavoirs de la Seine, près de l'Hôtel de Ville.

Oui, Flocon, laissez le chaton!

Anonyme a dit…

Anijo, désolée, je n'ai pas les compétences nécessaires pour traduire ce qui est écrit dans mon commentaire

Pas de problème Merbel. J'avais toute à fait compris.

Anonyme a dit…

Imagine there's no countries
It isn't hard to do
Nothing to kill or die for
And no religion too
Imagine all the people
Living life in peace

You may say that I'm a dreamer
But I'm not the only one
I hope someday you'll join us
And the world will be as one

Flocon a dit…

merbel,

j'ai lu à peu près toutes les nouvelles de Maupassant vers la fin des années 70 et j'avais été émerveillé par ce prodige de pouvoir en une dizaine de pages installer tout un monde et ses personnages avec une intrigue solide et passionnante.

Ce qu'on appelle nouvelle fait en général une bonne quarantaine de pages (bon, entre 10 et 60 disons) mais Maupassant se contentait toujours (dans ma mémoire) d'une douzaine de pages avec un résultat parfait (mon goût).

La seule nouvelle dont je me souviens bien c'est celle où une paysanne jette au fonds d'un puits son chien qu'elle ne peut plus entretenir puis, prise de remords, demande à un puisatier d'aller le rechercher et y renonce vu le prix demandé (20 sous peut-être).

Elle jette donc un deuxième chien au fonds pour tenir compagnie au premier, les nourrit quelque temps puis les laisse aboyer et mourir de faim et de soif.

Comme quoi, il y a trente ans et plus, une certaine sensibilité était présente et agissante en moi.

Giscard était passé à Apostrophe pour parler de Maupassant (1978?) pour se voir rembarrer le lendemain dans Libé par Sartre qui voyait en Maupassant l'archétype du littérateur petit bourgeois.

Son truc à lui c'était Flaubert comme vous savez.

Flocon a dit…

Anijo,

We share the same musical references don't we?

Flocon a dit…

The number of comments in the NYT has steadily increased since yersterday...

276 and counting...

Christine a dit…

Flocon,

La nouvelle dont vous parlez s'intitule Pierrot. Mme Lefèvre se débarrasse de son "quin" parce que les impôts lui réclament huit francs (loi du 2 mai 1855 dont le prix varie selon la fonction du chien: chasse, compagnie, garde). Prise de remords elle demande à un puisatier de l'extraire du puits de marne où il a été jeté. Ce dernier lui réclame quatre francs et cette pingre renonce à son Pierrot!

Maupassant est un grand nouvelliste -l'univers est très pessimiste en général- et oui, je me rappelle cette émission d'Apostrophes avec Giscard. Pompidou avait publié une anthologie de poésie, il fallait bien qu'il se distingue, lui, le premier de cette génération de technocrates froids qui rompaient avec la tradition des derniers chefs d'état plutôt "lettreux" et en tout cas cultivés. Remarquez, c'était le temps béni! De Gaulle aimait Corneille au point de s'en inspirer pour écrire ses discours. Et Sarko, lui? Voilà ce qu'il a déclaré devant une assemblée de fonctionnaires, alors qu'il était ministre de l'Intérieur et président à l'élection présidentielle (un chef d'oeuvre de mépris!)

"Dans la fonction publique, il faut en finir avec la pression des concours et des examens. L'autre jour, je m'amusais, on s'amuse comme on peut, à regarder le programme du concours d'attaché d'administration. Un sadique ou un imbécile, choisissez, avait mis dans le programme d'interroger les concurrents sur La Princesse de Clèves. Je ne sais pas si cela vous est souvent arrivé de demander à la guichetière ce qu'elle pensait de La Princesse de Clèves... Imaginez un peu le spectacle ! En tout cas, je l’ai lu il y a tellement longtemps qu’il y a de fortes chances que j’aie raté l’examen ! » (le subjonctif passé "que j'aie raté" montre que notre chef n'a pas compris les leçons sur la concordance des temps - programme de 4ème!... à moins qu'il ne fasse étalage de ses insuccès scolaires?????)

A vous qui maîtrisez l'anglais et pour Anijo aussi, connaissez-vous les nouvelles de Roald Dahl, et notamment dans le recueil Kiss, Kiss, les nouvelles intitulées "Le champion du monde", "Madame Bixby et le manteau du colonel" et "Un beau dimanche"? Ça devrait vous enchanter!

Flocon a dit…

Après quelque 30 ans ma mémoire n'est pas si mauvaise dites donc... Pierrot; J'avais oublié le titre.

(C'est de mémoire que vous vous souvenez de la loi du 2 mai 1855? gggrrrrr...)


"l'univers est très pessimiste en général"

Maupassant voyait en Schopenhauer (qui s'y connaissait en matière de pessimisme -encore qu'il n'ait jamais écrit le mot-) son maître absolu.

Il lui a consacré une nouvelle précisément, Auprès d'un mort.

Je n'avais pas encore lu le maître de Francfort en 1980 mais j'en connaissais l'existence depuis 1959 (mais c'est une autre histoire).


"je me rappelle cette émission d'Apostrophes avec Giscard."

Enfant vous vous intéressiez déjà à la littérature?

Je me rappelle...Hhhmmm. Moi j'aurais écrit je me souviens mais qu'allez-vous encore trouver pour me clouer le bec publiquement?

A propos des relations de nos présidents avec la littérature voyez-donc cet ancien billet du début du blog.

Je m'aperçois à l'occasion que l'illustration (Sarko par les Guignols) a été retirée.

Pour la faute d'accord des temps de Sarko rendons lui justice: Puisque c'était un discours il n'a pu faire cette faute (encore qu'il est possible/probable qu'à l'écrit il l'aurait commise).

Sur ce coup-là je la joue discrète moi...

C'est le transcripteur qui est responsable -ou le site sur lequel vous avez retrouvé ce discours.

Pompidou ne s'était pas foulé avec son anthologie. Ce n'était ni plus ni moins qu'un recueil. N'importe qui en fait autant. Du moins avait-il cité Eluard comme je le rapporte dans le billet mentionné ci-dessus.


"A vous qui maîtrisez l'anglais "

Non, pour ça il faut s'adresser à ZapPow...

Pour ce qui concerne Roald Dahl, je n'ai pas ouvert un roman ou une nouvelle depuis le Jin Ping Mei au début de l'année.

Je suis tout entier à la philo depuis le début de l'année. On ne peut être partout hélas.

Dernier roman remarquable que j'ai lu: Le général de l'armée morte" de Ismail Kadare.

Je voudrais aussi lire des textes sur l'histoire de l'art mais c'est encore plus énorme que la littérature philosophique (qui en traite elle-même d'ailleurs dans sa partie esthétique).

j'ai corrigé une absence de pluriel sur le billet (insultes des années précédentes).

Il reste des erreurs comme sont en germe celles que je commettrai dans les billets à venir...)

merbel a dit…

Se rappeler quelque chose: rappeler un souvenir à soi... C'est se rappeler de qqe chose qui est fautif.

Oui, les insulteS et aussi dans le tout petit texte en italiques "afin que je la mette" (et non mettre). Je joue à la prof, même en vacances!

Possible pour la transcription de la déclaration de Sarko. Vous avez raison.

Rectification: je ne suis pas si jeune que cela Flocon; je crois avoir donné des indices. J'ai (seulement?) 5 ans de moins que vous: c'est une paille!

A cette époque-là on lisait Zola à 14 ans et Flaubert à 16! Ridicule, je suis bien d'accord avec vous! Qu'ai-je pu comprendre d'Emma à cet âge-là? Juste le souvenir d'un gros ennui... (comme elle! Rires!). Je ne sais pas si j'aimais déjà la littérature, mais je me planquais pour lire, pour échapper à mes trois frères qui avaient TOUJOURS besoin de moi pour jouer! Grrr

Pour la loi de 1855, ne vous imaginez rien! j'ai des éditions commentées. Je suis précisément en train de préparer mes cours sur la nouvelle; j'ai étudié avec les élèves l'an passé La parure et j'en cherchais une ou deux autres dans Les Contes de la bécasse dans lesquels on trouve Pierrot!

Vous avez lu TOUS les contes de Maupassant? Total respect...
Pour Pompidou, oui, l'anthologie n'a rien de très original. Elle est même ringarde, ennuyeuse et n'a rien de révolutionnaire, c'est le moins que l'on puisse dire!

Je file, pas trop de temps. J'ai pris note de la nouvelle. Pour le roman, rien lu de cet auteur mais on ne peut pas tout lire! Merci cependant du conseil!

Christine a dit…

Viens d’achever Auprès d’un mort ! Quelle nouvelle encore une fois !
La construction est remarquable : le narrateur tient l’histoire d’un phtisique -un mourant- qui raconte lui-même l’histoire de la veillée funèbre auprès de Schopenhauer… Une belle mise en abîme d’abord .
Ensuite l’admiration diffuse du narrateur pour les deux personnages : le maître et son disciple.
Le vieux disciple est solitaire, il est consumé par la tuberculose certes, mais aussi par la lecture : rongé par elle, possédé, englouti : «[ …] il lisait, il lisait de l’œil et de la pensée ; tout son pauvre corps expirant semblait lire, toute son âme s’enfonçait, se perdait, disparaissait dans ce livre jusqu’à l’heure où l’air rafraîchi le faisait un peu tousser . » Pas exactement par la lecture mais par « ce livre », celui annoté par le maître, Schopenhauer, décrit par une incroyable périphrase « le plus grand saccageur de rêves qui ait passé sur terre ».
Le maître, d’abord comparé « involontairement » à Voltaire pour l’ironie qu’ils avaient en commun, devient une figure positive malgré l’accumulation des termes négatifs (esquisse du champ lexical de la destruction à travers tous les verbes) : « Jouisseur désabusé, il a renversé les croyances […], détruit les aspirations, ravagé la confiance, tué l’amour, abattu le culte idéal de la femme, crevé les illusions, accompli la plus grande besogne de sceptique qui ait jamais été faite . [ …] Et aujourd’hui même, ceux qui l’exècrent semblent porter, malgré eux, en leurs esprits des parcelles de sa pensée. »
Enfin, la chute qui est d’un comique macabre (j’adore ça !) est discrètement préparée dans le début du récit rapporté : « […] riant d’un inoubliable rire, mordant et déchirant les idées et les croyances d’une seule parole, comme un chien d’un coup de dents déchire les tissus avec lesquels il joue. »
Je n’ai pas pu m’empêcher de commenter ! C’est un texte littéraire qui invite à lire de la philosophie ! Très fort ! Je ne connais pas Schopenhauer. Damned!

Ned Ludd a dit…

Le Jin Ping Mei est l'un de mes romans préfèrés. Il est tellement moderne.

J'ai la traduction Pléiade, la seule complète que je connais. Malheureusement pour les anglophones, il n'y a pas une traduction complète, je crois. J'ai deux traductions partiales.

Flocon a dit…

merbel,

Bon, moi je rappelle quelqu'un au téléphone et Je me souviens de Georges Perec, voilà! :-D

Pour ce qui est des nouvelles de Maupassant, il doit bien y en avoir quelques unes qui m'ont échappé mais quand je l'ai lu je faisais dans l'intégrale... Plus le temps maintenant...


"A cette époque-là on lisait Zola à 14 ans et Flaubert à 16!"

Combien de millions de gosses ont été dégoûtés à tout jamais de la poésie par l'approche entomologique qui était de mise? Genre le poème est construit sur des rimes je ne sais quoi, des terces alternés ABBA, ABAB BABA, BCAB et autres foutaises.

Hémistiches octosyllabiques et mille autre dissections par de cuistres saboteurs de jeunesse.

Madame Bovary oui! Anna Karénine non! Qu'est-ce que cela m'a em..dé ce bouquin de Tolstoï qu'Harlequin refuserait de publier de nos jours.


"le plus grand saccageur de rêves qui ait passé sur terre"

Cette phrase de Maupassant est bien connue dans le milieu des schopenhauériens français qu'ils aient, ou non, lu Maupassant.

"C’est un texte littéraire qui invite à lire de la philosophie ! "

C'est un peu ce qui m'a amené à m'éloigner de la littérature malgré tout le plaisir que j'en peux tirer: J'ai le sentiment de plus apprendre sur l'homme par la philo que par la littérature, pur divertissement pascalien au fond.

"Je ne connais pas Schopenhauer. Damned!"

Je ne veux pas lasser Zappow donc je ne m'étends pas davantage sur Schopenhauer.

Malgré toute votre bonne volonté vous ne lirez pas Le Monde comme Volonté et Représentation (j'en suis à a 4ème lecture depuis 1996).

Wiki n'est pas fichu ou plutôt personne n'a écrit d'article en français sur l'ouvrage majeur de Schopen. En Anglais par contre l'article est très bien fait.

Vous qui êtes germaniste peut-être pourriez-vous essayer l'article en allemand mais il faut tout de même avoir des bases en philo. Je ne sais pas quel est votre bagage en la matière.

La langue de Schopenhauer est réputée pour sa clarté et son élégance, comme celle de Nietzsche.

Elle n'est pas jargonneuse bien au contraire, il n'a eu de cesse de torpiller le charabia de maison d'aliéné de son contemporain Hegel. Essayez donc de lire La phénoménologie de l'esprit...

Vous avez raison: Schopenhauer n'est pas vraiment un béat de: la vie est belle, plus de bonheur on ne pourrait le supporter etc.

Flocon a dit…

Ned,

Le Jin Ping Mei comme vous savez est 1 des 5 grand classiques chinois.

J'avais entrepris l'an dernier de me lancer dans cette croisière (La Pléiade également) mais vraiment, plus de 8.000 pages... je n'ai pas eu le courage et j'ai abandonné après le Jin.

Vos traductions sont partielles Ned, pas partiales ;-)

Je ne sais quelle configuration a votre ordinateur Ned mais vous passez à travers tous les compteurs du blog sans être remarquée!

Anonyme a dit…

Alors j'avais finalement lu des commentaires au NYT. Y'avais des coms assez bizzare comme "If you happen to use the bathroom in a French home — something that is not considered polite, by the way"

Mais un français a répondu "Not that I know of. I do not know where that idea comes from..."

A lot of people concern themselves with the way that other people dress...

Flocon a dit…

Anijo,

""If you happen to use the bathroom in a French home — something that is not considered polite, by the way"

Yeah, I read this one too and it let me flabbergasted!

When you think of the zillion insanities that are propagated everyday by the Internet you wonder how the world hasn't come definitively mad at this point!

Le revers de la médaille since in the meantime there are much more valuable informations that reach people all over the world with the Internet.

Anonyme a dit…

lol.. exactement..

Anonyme a dit…

To some extent we probably are all definitively mad at this point... Gulf oil spill, Sarkozy, Tea Party.. on and on...

Nous pauvres..

Ned Ludd a dit…

Flocon, J'ai les autres aussi, mais en anglais. On peut les achèter pas trop chers des editions Beijing Press.

Outlaws of the Marsh (or The Water Margin); The Dream of the Red Chamber; Journey to the West; the Three Kingdoms.

J'aime particulièrement Journey et Outlaws. Il y a même des editions de Journey pour les enfants.

Flocon a dit…

Ned,

Did you really read those 8.000 pages? Total respect alors!

That would take me more than one year...

Ned Ludd a dit…

J'allais t'envoyer un courriel personel pour que tu ne perdes pas tous tes statistics, mais je ne l'ai pas trouvé.

Mais j'utilise un logiciel "NoScript". C'est gratuit et merci pour la confirmation que ça marche.

Flocon a dit…

"J'allais t'envoyer un courriel personel pour que tu ne perdes pas tous tes statistics, mais je ne l'ai pas trouvé."

La voici: Schopen@cegetel.net

Je l'ai longtemps laissée sur le blog et puis un jour je l'ai enlevée...

Anyway ton logiciel NoScript est très efficace effectivement.