vendredi 2 novembre 2007

Danielle Dax



Se promener sur la toile offre toujours des occasions d'agréables surprises. Je n'avais jamais entendu parler de cette Danielle Dax, qui reprend là une chanson de 1966, Tomorrow Never Knows.

Sans doute ne l'aurais-je pas remarquée avec un autre titre mais Tomorrow Never Knows...

Par ailleurs, cela montre une fois encore l'abîme qui séparait la scène musicale anglaise des années 60 des sinistres niaiseries dont les jeunes français étaient abreuvés à l'époque.

D'un côté les Beatles, les Rolling Stones, les Pink Floyd, Led Zeppelin etc. De l'autre, Sheila, Sylvie Vartan, Hughes Auffray, Claude François et tant d'autres, plus affligeants les uns que les autres.

Dur, dur d'être ado en ces temps de médiocrité à l'échelle industrielle.

En plus ladite Danielle Dax est plutôt plaisante à regarder...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous avez la dent dure.

J'aime bien Hugues Auffray.

EYGH

Flocon a dit…

Quel plaisir de vous "recevoir" ici EYGH :-)

"Santiano" était une joie chanson de même que "Quand le printemps revient" mais Stewball et quelque chose qu'il avait écrit en l'honneur de Killy en 1968... :-(
Je vous accorde qu'il y avait bien pire que lui mais de toute façon ce que je voulais mettre en relief ce sont les années lumière qui séparaient ce qui se faisait chez nous et ce qui venait d'Angleterre. (Je sais votre naturelle et spontanée suympathie pour nos amis british...)

Anonyme a dit…

Vous avez raison bien-sûr et Tcheni vous confirmerait que les français ne savent toujours pas faire la même musique que les anglais. L'inverse étant vrai d'ailleurs, les anglais ne savent faire que ce qui est anglais.

Bon ceci dit faire chanter du Hugues Auffray aux enfants des écoles et en camps scouts c'est toujours d'actualité et c'est super. Hugues Auffray ne se démode pas.

EYGH