Pour justifier les salaires invraisemblables et autres petits avantages des PDG de nos grandes boîtes, la droite, les libéraux, ont trouvé il y a une vingtaine d'années, l'argument qui tue :
"Si on ne rémunère pas suffisamment les meilleurs ils iront ailleurs où on saura reconnaître leurs talents et c'est la France et les Français qui en pâtiront in fine".
Mais oui, mais oui madame...
Nul n'est irremplaçable et il y a dans toutes les grandes boîtes de France des milliers de types qui sont prêts et capables d'assumer la fonction de PDG pour des salaires deux ou quatre fois moindre.
Tous présidents qui sont entourés de directeurs aussi énarques que le président, ou ayant des parcours comparables mais comme il n'en faut qu'un c'est le politique qui choisit. Un parachuté de préférence. Un peu comme les ministres d'ailleurs qui ne connaissent rien à leur taf quand ils déboulent dans leurs ministères.
Alors l'argument qui tue, bonjour. S'il veulent partir qu'ils partent sauf qu'ils ne partiront pas.
Je n'ai d'ailleurs aucun nom de gars (niveau gros calibre) qui se soit expatrié parce qu'il ne se faisait pas assez de tunes en France.
J.M. Messier peut-être. Encore un qui était indispensable...
1 commentaire:
Une curiosité: info ou intox?
Quand vous tapez Henri Proglio sur Google images la seule suggestion qui vous est proposée est:
"Henri Proglio Dati"
Essayez.
Hummmmm? Mais encore?
Un indice sur le père de la fille de Dati?
L'info est subliminale peut-être mais quel hasard dites-donc que cette proposition de Google...
Mais après tout peut-être suis-je une fois encore le dernier informé d'un secret de polichinelle...
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